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Essai sur l’artiste peintre Jules de Balincourt

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Jules de Balincourt utilise des pochoirs, rubans, couteaux et peintures en aérosol dans le style de l'art outsider. C'est de l'art brut, un concept crée en 1972 par Jean Dubuffet d'après Wikipedia. C'est aussi près de l'art des fous, celui qui est utilisé pour soigner les malades mentaux en asile psychiatrique, toujours d'après Wikipidia.

La peinture de Jules de Balincourt est assez naïve d'après les experts et sa toile (Dance, Dance revolution) manquerait d'après l'express cruellement d'émotion. Je le trouve, lorsque l'on regarde sa toile avec cette phrase qui tombe comme cela sans émotion qui semble se vouloir être un constat de la réalité objectif et qui me paraît être tellement simpliste que c'est de l'alienation : Ceux qui payent et ceux qui jouent. Cela me semble être une division simpliste du monde. Par contre la fracture sociale est là et bien là, et elle est grande, profonde. il ne peut pas l'ignorer, c'est représentation simpliste qu'il en fait semble-t-il. Mais, il faut reconnapitre que souvent nous pouvons avoir tendance à diviser, simplifier noius aussi le monde, le séparer entre deux catégories, être manichéen (les bons et les méchants), (les pauvres et les riches)…

Le travail de Jules de Balincourt porte sur l'image. Je trouve la plupart de ses toiles très belles. Ce peintre passe son temps à observer….

D'après certains, c'est presque de la schizophrénie. (voir interview sur le magazine patrimoine.jalougallery.com)

Il est possible que Jules de Balincourt soit un surdoué atypique : ses réactions ressemblent à de la schizophrénie,, mais dans le cas d'un individu présentant une surefficience mentale, elles seraient normales d'après certains spécialistes de la surdouance et psy. Les individus surdoués n'ont pas le même cablage neuronal que les autres individus, ils ont certainement beaucoup plus de connexions que les autres et un seuil de sensibilité différent de la normale. Physiologiquement, il faut comprendre qu'ils sont différents, et leurs réactions sont différentes de la normale.

IL existe plusieurs critères pour déceler un individu présentant une surefficience mentale. Un schizophrène n'est pas trop à l'aise avec son corps.

Souvent, d'après les sépcialistes, les surdoués en situation de stress, trauma vont avoir des réactions qui vont sembler exagérées à un psy, même en situation normale, le surdoué a des réactions qui semblent exagérées. Un psy peut confondre un vraie maladie mentale et un individu surdoué atypique, car ce dernier peut présenter des symptômes analogues à ceux que présentent les individus atteints d'un trouble bipolaire ou d'une schizophrénie, d'un trouble borderline. Mais, pour les surdoués, ces réponses comportementales seraient normales et ne seraient pas le signe d'une pathologie, car il faut prendre en considération leur cablage neuronal différent. Pour “l'être normal”, qui n'est pas surdoué, c'est le signe d'une pathologie.

Attention, les surdoués ne sont pas à l'abri de la pathologie mentale, la consommation de drogue les foutra en l'air pour un certain nombre de temps,s' ils n'arrêtent par exemple. La limite entre les deux est floue et un équilibre de vie est très important, l'environnement aussi.

Il n'est pas évident de savoir si cet artiste est schizophrène, à la limité de cette folie, surdoué atypique. Un surdoué est doué dans plusieurs domaines et n'a pas des tests de Qi forcement brillants, car ces derniers ne sont pas adaptés, échelonnés pour eux. Un correcteur “normal” ne pourra pas s'apercevoir de cela. Par exemple, pour un test il peut exister plusieurs réponses différentes que le surdoué verra, le correcteur normal ne le verra pas et attendra une seule réponse. Bref le surdoué ne rentre pas dans la norme.

On comprend les angoisses de Jules de Balincourt qui souhait être reconnu pat l'institution française que son travail soit reconnu par l'institution fançaise. Les français n'ont pas toujours été très gentils avec leurs artistes et génis, comme Van Gogh qui n'aurait pas sombré dans un profond désespoir certainement , s' il avait été reconnu de son temps et gagné sa vie avec son art, ce qui l'a entraîné vers un trouble maniaco-dépressif d'après certains psys. Peut-on supporter autant de misère et d'injustice et de bêtise ou de rejet, comme il les a vécues ? On peut rendre une personne folle, il ya des limites aux souffrances que l'on peut endurer. Il y a eu Baudelaire et Victor Hugo…Victor Hugo qui a eu la reconnaissance et l'argent ppur vivre de son temps et la misère de Baudelaire. Jules de Balincourt, même s'il n'est pas reconnu par l'institution française, a échappé à la misère, cela doit-être son statut d'américain (et peut-etre une fortune familiale, du moins une bonne aisance familiale, mais cela ne suffit pas..) qui lui a permis cela, entre autres….Et c'est déjà pas mal !

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