Libérés des mathématiques, savoir enfin ce qu'est réellement, concrètement l'univers et comment il fonctionne - Dmoz.fr | Actualité insolite
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Libérés des mathématiques, savoir enfin ce qu’est réellement, concrètement l’univers et comment il fonctionne

De la nuisance des mathématiques dans la recherche

Si les mathématiques, ces abstraits outils, nous sont utiles pour contrer, circonvenir et manipuler cet univers le moins péniblement possible; pour comprendre, pour voir, ce qu’est réellement, con- crètement ce dernier, qui n’est en rien abstrait, ils ne nous sont pas inutiles, ils nous sont nuisibles, faisant de nous des aveugles.

Ainsi aujourd’hui, complètement perdus dans abstractions, fictions, aberrations mathématiques, on croit en l’existence de “photons”, qui n’existent pas, et l’on ignore toujours ce qu’est la lumière; on croit en l’existence de “gravitons”, qui n’existent pas, et l’on ignore toujours ce qu’est la gravi- tation; on croit en l’existence d’“électrons”, qui n’existent pas, et l’on ignore toujours ce qu’est l’électricité; on croit avoir à faire à “Effet Doppler” alors que l’on n’a à faire qu’à altérations de rayonnements et que bien évidemment il n’y a jamais eu d’autres “Big Bang” que “A” ou “H”, d’autre “Expansion” que l’ignorance de certaines têtes (qui le reconnaissent d’elles-mêmes, ne cessant de répéter “Plus nous en savons, moins nous en savons” ) et d’autres “Trous Noirs”, pour le moment*, que l’intérieur de ces mêmes têtes, qui énoncent “Principe d’Incertitude” et “Théorie d’Indétermination”, n’effectuant jamais leurs recherches qu’à l’aveuglette et par tâtonnements, sans jamais savoir ce qu’est réellement, concrètement ce qu’elles ont pu observer, systématiquement préoccupées qu’elles sont d’y coller tant bien que mal abstractions numériques et équationnelles.

Elles ne manquèrent pourtant pas de mises en garde, telle celle de Jean d’Alembert par exemple, au XVIIIe siècle : “Trouver d’abord les Principes et y appliquer ensuite le calcul, voilà deux démarches qu’il ne faut pas intervertir. Et les mathématiciens modernes n’ont pas été assez attentifs sur ce point. C’est le désir de faire usage du calcul qui les dirige dans la recherche des Principes, alors qu’ils devraient d’abord chercher les Principes pour eux-mêmes sans chercher d’avance à les plier de force au calcul. Les mathématiques, qui ne doivent qu’obéir à la Physique, lui commandent !”.

Jean d’Alembert, homme de Sciences et de Lettres, n’eut en mathématiques mêmes, rien à ap- prendre de ces mathématiciens “modernes” et leur apprît. Malheureusement, pas plus que d’autres avant comme après lui, il ne réussît à leurs faire admettre que les mathématiques ne devaient qu’obéir à la Physique, et le désir de faire usage du calcul ne cessant plus de diriger la recherche des Principes, nous n’avons pu savoir, en 1900, ce que pouvaient être les atomes, que nous exposait donc cette année là Clémence Royer dans l’introduction de son ouvrage “La constitution du monde” en se plaçant sous l’égide de Démocrite. Et huit ans plus tard, ne cherchant finalement plus même à plier de force les Principes au calcul, mais se désintéressant carrément des Principes pour ne plus s’intéresser qu’au calcul, ces mathématiciens se mirent définitivement dans l’incapacité de découvrir ce qu’était cet univers.

www.liberes-des-mathematiques-savoir-enfin-ce-qu-est-l-univers.net

 

 

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