Pratiquement, la quantique élémentaire est une science facile d’en parler à tous les temps…
Sa mesure est définissable, comme la répétition librement limitée de l’objet. Aux
premiers pas de cette science quantique, sur le chemin des théories vivantes.
– Quand le musicien en herbe découvre les techniques « cachées » de
la musique… Cette dimension qui généralise toutes les musiques… Cette nouvelle
connaissance va lui apprendre à reconnaitre les modulations diatoniques,
exprimer leurs noms. D’avoir un langage techniquement relatif à une
classification des gammes, dans un système complexe en structures. La théorie
de la musique est avant tout, le monde quantique par excellence. Un univers de
logiques interactives dans un espace-temps multidimensionnel, là où se créent
toutes les évolutions. L’origine élémentaire de la gamme est naturelle, et son
espace d’octave maitrise le tempérament égal. Tout comme une suite régulière
d’éléments identiques, différenciés par des variations de fréquences. Et, cette
variation élémentaire altère le comportement de l’élément, sans le dénaturer. Alors,
on dit que l’élément est une constante variable… L’étude des gammes
« musicales » conduit à la gammologie, qui développe de nombreux
ensembles. Merveilleusement interprétés selon les quantiques ancestrales,
celles des anciens savants qui ont découvert ; Les tempéraments, la gamme
chromatique, les tétracordes, les gammes…
Ainsi, toutes ces combinaisons forment des évènements harmoniques spécifiques.
Le mouvement musical suit un rythme, avance dans le temps en décrivant une
musicalité originale. La musique n'est intégralement pas complexe, elle est
naturellement multiple, et tellement quantique… L'art quantique mesure les
capacités, et son analyse décrit les théories. Ce n'est pas une compétition à
savoir sur la vitesse active, mais une réflexion pertinente à sujet de
classement. Il faut comprendre, que la classification est une structure
logique, qui normalement, affine notre perception cognitive. En comparant deux
classes bien distinctes ; L'élément et le savoir :
*** Détail de la toute première découverte élémentaire :
La reconnaissance de l'autre élément, avec cabviva on parle de musique, donc de
la note musicale ou de la touche physique du son. Qu'elle est bien entourée
cette onde sonore, aussi la guitare ne veut pas nous dire que son toucher est
diatonique. Moralement, chaque objet a ses propres capacités, tout comme le
papier sur lequel est écrit “Qu'elle est diatonique”, où il n'y a pas
de sillon chanteur…
*** L'idée théorique est une explication logiquement claire :
Il existe un élément fondamentalement élémentaire complexe, il s'agit de
l'harmonique. Elle est un ensemble d'éléments, elle est aussi un résultat qui a
la valeur de l'opération effectivement composée. Tout comme l'œuvre
musicalement orchestrale, qui assemble les harmoniques et de créer l'harmonie
fondamentale résultante. On comprend ainsi, que la ligne harmonique est
variable également…
L'harmonie est visiblement audible, et incroyablement visible. Et, si le visible est
audible (voire inaudible), alors que l'audible reste dans le monde du visible.
L'interlude d'une question, pour répondre au fait qu'un bruit ne peut exister
sans l'objet visible (dont la visibilité serait absolue). Là quand le bruit
subsiste au-delà du temps donné à l'objet.