La police belge déclare plus de 30 000 vélos volés par an en Belgique, soit environ 1 000 par an pour Bruxelles. Malheureusement ces chiffres ne cessent d’augmenter si bien que certains cyclistes préfèrent aujourd’hui plutôt acheter un vélo d’occasion qu’un vélo neuf. Mais alors comment font les hollandais qui ont tous un vélo et qui ne prennent souvent pas la peine de l’attacher ?
Le vélo hollandais étant simple et fonctionnel, il est vrai qu’il attire moins les voleurs que le VTT. Le vélo hollandais classique que l’on peut voir partout en Hollande et en Belgique (côté Flandres) est un symbole. Il s’agit d’un type de vélo né aux Pays-Bas et qui est toujours là bas utilisé comme principal mode de déplacement. Le but en achetant ce type de vélo est véritablement d’acquérir un moyen de transport à usage urbain quotidien.
Rappelons que les caractéristiques du vélo hollandais sont une forme particulière qui permet une assise plus confortable, l’utilisateur pouvant se tenir bien droit. Sa simplicité fait son originalité, il est en général équipé d’un système de freins rétro-pédalage. Egalement d’un pare-jupe pour éviter au manteau de frotter contre la roue, d’un garde-boue, d’une béquille, et même d’antivol intégré au cadre (obligatoire aux Pays-Bas pour assurer son vélo).
Si toutefois vous souhaiteriez acheter un VTT plutôt qu’un vélo hollandais, alors il existe des assurances pour votre vélo en cas de vol avec effraction ou agression. Il vous sera demandé au minimum un antivol de type U ou chaîne, intégré ou pas au vélo. Elle vous coûtera de 50 à 100 euros selon les conditions (Dommage + Vol).