Médecine officielle: scénario d’une défaite à répétition.
Tôt ou tard, l'anxiété de savoir si une menace mine notre santé ou celle d’un proche se présente dans notre vie. Les réactions varient selon les personnalités et l’histoire de famille. Les prémonitions sont généralement de la partie mais le sentiment qui domine est souvent celui de l’impuissance. Pour les fatalistes, contracter un cancer relève de la loterie russe. Pour d’autres, surtout chez les plus âgés, la résignation est acquise à l’avance: il faut bien y passer et mourir un jour… Face à de telles préoccupations, la consultation du brave médecin de famille est d’un maigre réconfort. Quel trouble peut-il constater qui ne soit encore qu’au stade subtil puisque ce dépistage de ce type ne figure pas dans les pratiques de la médecine officielle ? A l’instar de l’expert automobile qui estime les dégâts après un accident, le médecin attend lui aussi que le mal se manifeste. C’est ainsi.
Pour la grande majorité des futurs malades, les symptômes d’une maladie déjà contractée marque le début d’un parcours de souffrance désormais inévitable. Le fatalisme et la prévention débilitante préconisée par les tenants du pouvoir de soigner, préparent le futur malade à n’en vouloir qu’à lui-même. Sans doute n’a-t-il pas respecté les consignes de l’idéologie dominante en termes de prévention: pas trop de sel, pas trop gras, pas plus d’un verre de vin par jour,… . L’utilisation instrumentale des statistiques médicales amplifie la confusion chez l’opinion publique par des conclusions tendancieuses et des simulations stupides. Ces statistiques, utiles sur le plan arithmétique et organisationnel de la santé publique, ne sauraient pas le moins du monde prédire, à l’échelle individuelle, de quelle mort nous allons mourir. Sorte d’oiseux de malheur, ces statistiques répandent dans l’inconscient collectif la semence même du mal à produire. Par cette affirmation que nous évoquons le pouvoir énergétique de la pensée pour accomplir la prédiction. La prédiction médicale assortie de statistiques est un malheur sidéral et un fléau pestilentiel qui ravage l’équilibre et pille la santé des personnes. Par la même occasion, et c’est un paradoxe, cet état des choses donne bonne conscience au corps médical qui, en définitive, s’inscrit en faux en termes de prévention effective. Ce scénario de défaite atteint son apothéose lorsque le patient, après avoir avalé autant de médicaments qu’il pouvait se payer, est finalement largué au fleuve des incurables où il n’aura qu’à attendre son tour pour passer dans l’autre monde.
De statistiques, parlons-en !
De statistiques, parlons-en mais pour indiquer du doigt. Seulement 7% à 8% des diagnostics médicaux seraient corrects (item cité par le Dr Jean VALNET dans son ouvrage « Aromathérapie », 11e édition, Maloine) ! Qu’à cela ne tienne, avec 325.000 morts recensés dans les seuls hôpitaux américains, selon le Journal of the American Medical Association, le système sanitaire serait la troisième cause de mortalité aux USA. Voici les chiffres:
- Opérations inutiles: 12.000 morts;
- Erreurs de prescription de médicaments: 7.000 morts;
- Effets contraires des médicaments : 106.000 morts;
- Infections en milieu hospitalier: 80.000 morts;
- Autres erreurs dans les hôpitaux : 20.000 morts;
- Médicaments homologués mais ayant eu des effets néfastes: 100.000 morts (la prescription était correcte, mais le patient en est mort…).
Ces chiffres sont préoccupants certes, mais ils ne doivent pas discréditer la médecine officielle ! Ils doivent par contre nous sensibiliser à une réalité: nous n’avons pas à faire avec une sainte innocente. La médecine officielle est une authentique entreprise mais au statut unique: celui de posséder un droit plein et totalitaire sur la vente de ces prestations. Là où d’autres entreprises, et pas des moins consciencieuses, rament pour obtenir ou pour conserver quelques privilèges, la médecine officielle est une citadelle des plus hermétiques qui soient. Au nom du « secret médical », bien des cas louches échappent à la transparence et à l’enquête. Trépassé et sous bonne couche de terre, le principal intéressé ne saurait plus dire la sienne.
Le dépistage bioénergétique et son talent pour la prévention des maladies.
Le dépistage et la thérapie bioénergétiques sont pratiqués en Inde depuis des millénaires. Selon les chercheurs, ces millénaires seraient au nombre de 5 ou de 7. En Inde, plus de 450.000 médecins diplômés pratiquent la médecine bioénergétique. Ne commettons pas l’erreur de croire que cette médecine est simplement préventive car elle dispose de thérapies pouvant guérir jusqu’à 80% de cas déclarés incurables par la médecine officielle.
Postulant qu’il faut entre 5 à 15 ans de persistance d’un trouble bioénergétique avant qu’il ne devienne pathogène, le thérapeute dispose d’un intervalle de temps largement suffisant pour le neutraliser. Cette possibilité thérapeutique est certainement au cœur de l’inconciliable entre la médecine allopathique (l’officielle) et la médecine bioénergétique. Le talent reconnu à certains praticiens de la première est surtout cité en chirurgie par leur dextérité dans le maniement du bistouri… Plus ce talent est notoire, plus les prix montent et les bénéficiaires diminuent. Le talent des seconds est de nature ascétique, holistique ou animiste. Ce talent qui culmine peut-être avec, par exemple, les pouvoirs d’un chaman, est imperceptible car il appartient au monde subtil et alchimique qui transcende la matière.
Aucun asiatique non endoctriné par les soins de santé en version occidentale, mettrait en doute qu’un chaman n’a pas besoin d’indices biologies pour percevoir des cellules cancérigènes ni de substances pour les momifier et les expulser. Quant au médecin allopathique, contraint de s’en tenir aux stéréotypes prescrits par l’ordre des médecins, la « visée talent » visant à ajouter un iota à l’investigation médicale est susceptible de “frappes punitives” allant jusqu’à la radiation! Souvent, c’est après avoir cessé leur activité que des médecins font entendre leur voix. Un exemple est donné par le docteur Nestor DRISCART qui aurait pratiqué plus de 8.000 diagnostics avec l’antenne de Lecher et prescrit autant de traitements fixés grâce à cet instrument: http://driscart.unblog.fr/2008/02/26/antenne-lecher/ .
Pour bien moins que cela, des médecins français ayant eu l’audace d’utiliser l’antenne de Lecher ont été radiés: http://forum.aufeminin.com/forum/f461/__f186_f461-Punie-par-l-ordre-des-medecins-pour-s-etre-guerie-autrement.html
Dépistage et thérapie énergétiques à distance.
Dans la détection d’un trouble par émission-réception énergétique, la distance spatiale entre le thérapeute et le patient perd toute influence. Fort heureusement cette découverte a vu le jour avant que la prohibition médicale ne s’organise pour interdire aux médecins de se prêter, de soutenir ou de favoriser les thèses médicales bannies par l’ordre. C’est ainsi que le docteur ABRAMS (1863 – 1924), considéré l’un de plus grands savants médecins de sa génération a développé des procédés énergétiques à distance et guéri des patients atteints de graves maladies alors qu’ils se trouvaient parfois à des milliers de kilomètres. Publiés en 1916, ses travaux et protocoles ont été repris et continués par des médecins-chercheurs de nombreuses universités américaines, russes et européennes. Qu’en est-il aujourd’hui ? Ces percées fantastiques, authentiques remparts contre la souffrance et la dégénérescence par la maladie ont été bannies par la médecine officielle et par la haute main des industries pharmaceutiques sur les politiques médicales. Ces techniques ne sont pas perdues pour autant, bien au contraire. Sur le site www.amstran.fr du rédacteur de cet article, le lecteur curieux ou motivé par un besoin de santé pouvant être comblé par les médecines naturelles, peut trouver des informations pratiques. Une légende des troubles énergétiques pouvant dégénérer en pathologies y est résumée par nos soins.
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Rédacteur: Amstran 7.09.2013
