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Le crédit hypothécaire pour réaliser vos rêves

Vous voulez maintenant vous installer. Vous avez trouvé le logement ou la maison de vos rêves. Maison neuve ou à rénover, transformation ou agrandissement, la démarche nécessite des fonds. Si vous ne détenez pas la somme sur votre compte bancaire (ou celui d’un de vos parents) par devers vous, vous devrez avoir recours au crédit hypothécaire.

Si la banque estime que vous êtes à même de faire face tous les mois au remboursement de votre crédit, l’emprunt est très facile à obtenir, puisque l’hypothèque sur votre bien, protège le prêteur de tout risque de perte.

Payer un loyer est un investissement à fond perdu. Acheter un bien immobilier est un investissement. Pour un prix mensuel équivalent à un loyer, vous faites l’acquisition d’une valeur immobilière et « matérielle » (on est loin dans ce cas des investissements « virtuels » bien connu des salles de marché), négociable à tout moment.

Pendant de longues années, les conditions d’octroi des crédits ont été difficiles (début des années 80, les emprunts se négociaient à 12 % par an) et l’accès à la propriété était l’apanage des riches tant les taux d’emprunt étaient prohibitifs.

Depuis une vingtaine d’année, la situation s’est inversée : les taux d’intérêt sont bas… très bas (aujourd’hui les taux variables se négocient en dessous de 2 % avec une marge de variation inférieure à 2 %) la durée des remboursements s’est allongée, rendant le prêt hypothécaire abordable pour toutes les familles qui ont de l’emploi.

Évolution des prix de l’immobilier en Belgique sur les cinq dernières années.

La question légitime que vous devez vous poser est la suivante : les taux d’intérêt sont favorables, mais qu’en est-il de l’immobilier ? Quand on sait que de 1997 à 2005 la hausse fut importante, on est en droit de se poser des questions et de s’inquiéter.

ING prévoyait, il y a un mois, que le même marché immobilier belge chutera de 16 % entre 2014 et 2016. Cette prévision semble des plus logique au regard des pays voisins : cinq années de baisse en Irlande, – 8 % en Espagne et aux Pays-Bas, – 5 % en France.

Et bien la tendance ne se confirme pas pour la simple raison que le belge est le citoyen européen qui a la plus grosse brique dans le ventre et surtout que les prix de l’immobilier en comparaison avec ces mêmes pays est nettement moins élevé chez nous

Il faut donc profiter ce cette différence de prix pour continuer à investir dans la brique. Après toutes ces années de morosité, après la tempête de la crise économique et les difficultés des ajustements européens, il est grand temps de s’ouvrir à l’optimisme.

Propriétaire est une situation beaucoup plus enviable que locataire : le moment est donc à nouveau venu d’investir dans l’immobilier et de rester fidèle à notre traditionnel appétit pour l’immobilier.

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