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Démystification des fausses idées sur la nutrition

Beaucoup de gens veulent avoir un bon corps et être en bonne santé ! Cela dit, les gens ne passent pas vraiment du temps à étudier la diététique. Dans la plupart du temps, il est plus facile de miser sur des conseils recommandés par des amis, des proches que de vraiment s’informer sur la réalité. Ce sont le plus souvent ces conseils qui se métamorphosent et causent plus de mal que du bien avant d’être erronés. Voici donc une liste de quelques fausses idées qu’il faut considérer en nutrition et bien-être.

Prendre un repas moins copieux pour contrôler sa faim

C’est une affirmation provenant des protocoles d’études qui sont très décalés d’une routine de vie réaliste. Le nombre optimal de prises de repas est en effet un sujet très subjectif. En d’autres mots, qui dépend particulièrement de l’appréhension personnelle de la personne et son mode de vie. Un sondage mené auprès de sujet pratiquant le jeûne intermittent a conduit au résultat qu’une personne a moins faim au fur et à mesure qu’il diminue sa consommation.

Une alimentation fréquente pour booster le métabolisme

A chaque repas, le corps est stimulé au simple fait qu’il faut dépenser de l’énergie afin d’absorber de l’énergie. Certains programmes préconisent le grignotage afin de conserver un état statique de combustion interne. Cependant, il faut savoir que 24 heures après grignotages, il n’y a plus aucune différence énergétique d’absorption qu’une personne mange trois fois, six fois, ou encore neuf fois par jour. Il est juste impossible de tricher avec son propre corps même si le sujet suit un système de nutrition perte de poids. Ingurgiter plus de nourriture ne mène pas le corps à perdre du poids, et encore moins de la calorie.

Prendre plusieurs repas pour équilibrer le taux de sucre dans le sang

Le fait est que le cerveau a besoin de glucose pour assurer ses tâches. C’est ce qui a mené à l’affirmation que la conservation d’un taux minimal de sucre est indispensable pour garder la performance de son cerveau. Toutefois, il faut savoir que ce même taux pour une personne saine est automatiquement stabilisé que le but soit de maigrir vite ou d’avoir un ventre plat. Du coup, pas de risque de chuter en une seconde ou de grimper d’un coup, même si le sujet ne mange pas pendant un certain temps. Au fait après 48 heures de jeûne, le cerveau utilise automatiquement les corps cétoniques (provenant des réserves de graisse). De plus, autant être réaliste dans l’évolution de l’espèce, l’homme est-il censé devenir bête même s’il devait passer une période sans manger des fruits, ni légumes ?

Manquer son petit-déjeuner peut faire prendre du poids

Le principe de cette affirmation est en fait basé sur une vie routinière. Il révèle que la plupart des gens qui manquent leur petit-déjeuner sont plus enclins à être moins hygiéniques durant la journée. De même sur le nombre d’heures de sommeil ainsi que le stress qui ne peuvent être compensé que par plusieurs collations en dehors des repas traditionnels. L’argument scientifique est que le corps est plus sensible à l’insuline après le sommeil. Du coup une transformation plus avantageuse des composants alimentaires en énergie. Là encore le jeûne intermittent ainsi qu’une nutrition perte de poids régulière peuvent aider à mieux réguler la réaction au sucre à long terme.

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