Dans son livre « FRANCOSSOPIE 2003 » le sociologue Gérard Mermet confirme que la société et les Français sont en quête de valeurs refuges, la culture et l’art en font partie au même titre que le jardinage et la décoration. Le ministère de la culture indique quant à lui, que la fréquentation des musées, des monuments historiques et des théâtres est en constante augmentation, de plus la proportion de français pratiquant pour leurs plaisirs des activités artistiques a doublé entre 1973 et 1997.
Responsables scientifiques et culturels des musées d'une part, créateurs, éditeurs, artisans et industriels d'autre part, se sont rapprochés pour innover en la matière. Car l’objet culturel dérivé peut tout à la fois être une copie ou la reproduction d’une œuvre d’art, un objet interprétant une œuvre ou une création propre inspirée par une collection ou un patrimoine. La gastronomie, les arômes, la musique, les jardins, le style de vie de l’époque sont entrés dans l’univers muséal, sans plus être considérés comme une forme d‘exploitation mercantile des œuvres d’art.
Ces données conjoncturelles ainsi que la réussite commerciale de certaines boutiques comme Artemuse à La Rochelle artemuse-cadeaux.com confirment que ce jeune marché est porteur, une offre de produits dérivés suffisamment large existe, les clients y sont de plus en plus sensibles.
Il leur est maintenant possible d’acheter un objet inspiré du patrimoine culturel mondial (reproduction de sculptures de Rodin, Modigliani, Klimt, Mucha Pompon, Forchino) et d’offrir ainsi, un cadeau original ayant une histoire à raconter, l’objet culturel vous fait partager son histoire avant d’entrer dans la vôtre.