« Nous serons tous d'accord pour affirmer que toute entreprise recherche la performance économique et, en ces temps difficiles, cette allégation n'a jamais été aussi lourde de “bon” sens. Mais cette quête de la solution optimale permettant d'assurer la pérennité d'une activité entrepreneuriale, ne dépend pas que de la bonne volonté des dirigeants et/ou décideurs.
En effet, la performance économique prend sa source dans le pilotage chiffré.
Mais qu'est-ce qu’un pilotage chiffré ?
Et bien c'est un ensemble de moyens humains, techniques et méthodologiques communément mis en œuvre pour obtenir la quintessence des informations vitales à la bonne prise de décision. Concrètement, ces moyens peuvent se traduire par la mise en place d'éléments indispensables pour consolider l'essor d’une entreprise : Définition des plannings et des budgets, calculs de retour sur investissement, indicateurs et tableaux de bords.
Mais ne s’improvise pas spécialiste du contrôle de gestion et de l’informatique qui veut ! Je n’insisterai jamais assez sur l’importance PRIMORDIALE de conjuguer les compétences humaines avec les moyens techniques grâce à la parfaite maitrise de méthodologies.
Quels sont les bons indicateurs, les pistes d'amélioration ? Où se trouvent les niches de productivité ? Où capter les informations chiffrées, comment les retraiter, les projeter sur les prévisions de ventes ? Comment exploiter le web marketing ? Autant de questions auxquelles les décideurs doivent savoir répondre. Hélas, malgré l’unanimité dans la volonté de “performer” économiquement, des inégalités apparaissent lorsqu’il s’agit d’investir.
Mais est-ce réellement une question d’argent ? Pas forcément !
Les dirigeants des TPE/PME qui voient leurs activités accroitre, voient également leurs problématiques de gestion s’agrandir. Nécessité pour un industriel de mieux piloter ses couts de production, un transporteur soucieux d'optimiser la rentabilité de sa chaine logistique, un gérant d'hôtel souhaitant rationaliser son positionnement web, ou un responsable financier devant conduire un projet de restructuration… Les PME émergentes ou en phase de ralentissement ne peuvent pas se permettre, à l’instar des grands comptes, d’investir dans la ressource humaine (ex : embauche d’un contrôleur de gestion qui se chargera de concevoir les outils de pilotages adéquats) ainsi que dans les moyens techniques (comme par exemple la maintenance ou la conception d’un système informatisé (SI) efficace).
Dirigeants, soyez rassurés car les dieux de l’entreprise sont avec vous en vous offrant la possibilité de faire appel à des experts en la matière. En effet, l’externalisation ponctuelle de ces tâches délicates mais au combien nécessaires, devient une évidence voir même une providence.
En conclusion, le seul vrai frein réside dans la capacité du dirigeant/décideur à faire appel à des consultants externes qui proposeront toujours des solutions innovantes et rapides à mettre en œuvre, grâce à leurs approches globales et expérimentées.