Nous savons que les allergies alimentaires sont un problème croissant, mais il y a des mesures que vous pouvez prendre pour empêcher votre bébé d’en développer une.
Pour les bébés, nous vous recommandons d’introduire des aliments solides à environ 12 mois sous une forme adaptée à l’âge, y compris des allergies courantes provoquant des aliments comme les œufs, le lait (laiterie), les arachides, les noix d’arbres, le poisson et le blé. Des conseils en puériculture, allez sur ce site www.bebezenitude.fr.
Lait de vache
Pendant les 6 premiers mois de la vie de votre bébé, le lait maternel ou les préparations pour nourrissons est la principale source de nutrition. La protéine de lait de la vache se trouve dans ces sources et ne doit pas être présentée à un bébé allergique du lait de vache sans la supervision d’un médecin.
Votre enfant devra éviter complètement les produits laitiers s’ils ont reçu un diagnostic d’allergie au lait de vache. Cela peut aider à réduire les symptômes de l’eczéma et est important pour la santé et le bien-être global de votre enfant.
Pour les enfants qui ne sont pas en mesure d’allaiter ou qui ont été diagnostiqués avec du CMPA, des formules pour nourrissons hydrolysées sont recommandées comme substituts hypoallergéniques. Ce type de formule décompose les protéines du lait en particules plus petites, il est donc plus facile pour les bébés de digérer.
Œufs
Les œufs peuvent être un excellent ajout au régime alimentaire de bébé, et il existe de nombreuses façons de les présenter dans les repas de votre famille. Vous pouvez servir les œufs en purée, la purée ou cuites comme des amuse-gueules (comme des morceaux d’œufs brouillés et des mini muffins).
La clé est de présenter régulièrement des œufs, environ trois fois par semaine tout au long de la première année de la vie de votre bébé. Cela peut réduire leur risque de développer une allergie aux œufs de 80%.
Soja
Le soja est une protéine importante qui peut être trouvée dans une variété d’aliments, des formules de bébé aux pansements de salade. Mais c’est aussi une légumineuse (une famille de plantes), ce qui signifie qu’il peut s’agir d’un déclencheur d’allergie.
En fait, c’est une cause fréquente d’allergies alimentaires chez les bébés et les jeunes enfants. L’allergie peut être légère à mortelle et peut entraîner des symptômes tels que des vomissements, des éruptions cutanées, des problèmes respiratoires ou une toux.
Des fruits
Les fruits sont les structures reproductrices matures ou mûries (ovaire d’une fleur) formées par des plantes qui enferment les graines et aident à leur dispersion. Ils ont généralement du matériel extérieur charnu.
Ils sont une source de nourriture précieuse et sont une partie essentielle de la reproduction des plantes. Ils servent également de moyen important de pollinisation.
Les botanistes, les nutritionnistes et les chefs ont des définitions différentes des fruits, mais ils conviennent tous qu’un fruit est la partie comestible d’une plante de semence qui se développe à partir d’une fleur.
Introduire des fruits comme des aliments pour nourrissons mono-ingrédient entre quatre et six mois, conseille l’American Academy of Pediatrics. Ce processus lent vous permet de donner à votre bébé une nouvelle nourriture à la fois et de voir s’il a des réactions allergiques.
Légumes
Les nouveau-nés et les nourrissons peuvent devenir allergiques aux aliments comme les arachides, les noix d’arbres, le lait de vache, l’œuf, le soja, le blé et le poisson. Ces allergies alimentaires peuvent conduire à l’eczéma et à d’autres symptômes allergiques, ainsi qu’à des réactions allergiques potentiellement mortelles telles que l’anaphylaxie.
Une idée fausse courante est qu’il est plus sûr d’éviter ces allergènes jusqu’à ce que le bébé soit plus âgé, mais la recherche a montré que l’inclusion précoce peut aider à réduire le risque de votre enfant de développer une allergie alimentaire.
Commencez à introduire des aliments tels que des fruits (pommes, bananes et poires), légumes (légumes verts, patates douces, courges et carottes) et des céréales (riz ou avoine) entre quatre et six mois. Ce processus lent donne aux parents ou aux soignants une chance d’identifier tous les aliments qui peuvent provoquer une réaction allergique, qui peut ensuite être éliminée du régime alimentaire de l’enfant.