Placement vedette de l’année, les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) sont devenues un must-have de tout patrimoine équilibré. Ces produits financiers mutualisés visent la constitution d’un portefeuille immobilier diversifié par l’intermédiaire d’une société de gestion – il en existe 30 gérant 174 SCPI – qui reverse aux porteurs de parts appelés associés les loyers perçus sous forme de dividendes.
Les sociétés de gestion s’occupent de tout en contrepartie de frais de gestion prélevés sur les loyers perçus. Les investisseurs sont donc totalement libérés de toutes les contraintes chronophages qui font que de plus en plus d’entre eux se détournent de l’immobilier traditionnel au profit des SCPI.
D’un point de vue fiscal, les revenus perçus sont considérés fort logiquement comme des revenus immobiliers et imposés comme tels (taux marginal d’imposition + prélèvements sociaux au taux de 15,5%).
La diversité des SCPI permet d’investir dans tous les types d’actifs de l’immobilier dit tertiaire (bureaux, commerces, locaux d’activités et logistiques, entrepôts, hôtels, crèches, établissements d’enseignement et médicaux tels les EHPAD…) et sur l’ensemble de la zone euro. Certaines SCPI se sont par exemple spécialisées sur la zone euro tandis que d’autres privilégient des thématiques particulières comme la santé.
Le principe de la mutualisation permet de posséder une partie de biens dont le prix d’achat peut atteindre plusieurs dizaines de millions d’euros et qu’il serait impossible à des particuliers d’acquérir.
Tout cela est certes tentant mais quel est le rendement offert ? La réponse tient en un chiffre : 4,85 % nets de frais en 2015 en moyenne, soit beaucoup plus que le livret A (0,75 %) ou les contrats d’assurance vie en euros (2,27 %). De plus, au regard de la bonne santé du marché immobilier et de la qualité des actifs en portefeuille, le prix des parts a, toujours en moyenne, été revalorisé de 1,55 % l’an dernier. Les associés ont donc été gagnants sur tous les tableaux.
Cerise sur le gâteau, s’il est bien évidemment possible d’acheter ses parts de SCPI au comptant, il est conseillé de les acheter à crédit pour profiter de taux d’intérêt historiquement bas et utiliser un effet de levier. Pour les investisseurs fortement imposés, l’achat de parts en démembrement temporaire de propriété permet à la fois de sortir de l’assiette de l’ISF les fonds consacrés à l’achat desdites parts, d’échapper à la fiscalité puisque le nu-propriétaire ne perçoit pas de revenus, et d’acquérir ses parts moins cher que leur prix normal.
Cela fait beaucoup d’avantages pour un seul produit d’investissement !
Une question demeure : Comment bien choisir sa ou ses SCPI ? Si vous souhaitez vous épargner la lecture de tous les rapports annuels ainsi que celle des bulletins trimestriels d’information publiés pour chaque SCPI, le plus simple est de passer par un spécialiste de la distribution de ce placement qui vous guidera sans faux pas pour trouver le ou les véhicule(s) qui vous convien(nen)t.
Acteur de premier plan de cet univers reconnu pour la qualité de son service et le professionnalisme de ses consultants, La Centrale des SCPI (www.centraledesscpi.com) recherche en permanence les meilleures opportunités du marché pour en faire profiter ses clients. Ces hommes et ces femmes dont c’est l’unique métier ont ouvert à deux pas de l’avenue de l’Opéra (75001) la première boutique exclusivement consacrée à la distribution de ce produit profitable.
Ils vous attendent pour vous présenter les réussites du moment dont certaines rapportent plus de 6 % nets annuel. Bien évidemment, une analyse détaillée de votre patrimoine et de votre capacité d’investissement sera réalisée au préalable dans le cadre d’un service global.
Celui-ci ne s’arrêtera pas un fois votre achat réalisé. Vous serez en effet suivi(e) par votre conseiller dédié qui vous aidera notamment à remplir vos déclarations de revenus, et ce gratuitement.
Consacrer une fraction de votre épargne à l’achat de parts de SCPI constitue la bonne idée de cet automne afin que vous puissiez en récolter les fruits dès l’année prochaine, un moyen judicieux de bien commencer l’année 2017.