Lorsque l’on parle d’ésotérisme et plus particulièrement des arts divinatoires, il semble que la plupart des gens y voient d’étranges pouvoirs ou dons accordés à quelques privilégiés et fermés aux autres. C’est une erreur. L’ésotérisme n’est pas autre chose qu’une tentative de compréhension du monde intérieur de l’être et cette démarche, dès lors qu’elle aboutit, devient « exotérique”, c’est-à-dire offerte à tous.
Cela demande donc une étude, une recherche qui peut devenir une voie et est, en tout cas, une quête de ‘la” connaissance. Cette voie est la mienne depuis 30 ans et je la partage avec beaucoup d’autres. Dans toute voie il y a ceux qui sont “pou?’ et ceux qui sont ‘contre’. Encore faudrait-il que ces derniers nous en donnent les raisons.
« La différence entre vous et moi, Monsieur Haley, – disait Isaac Newton à ce détracteur de l’Astrologie – c’est que j’ai étudié le sujet, vous pas! »
Il rejoignait ainsi la pensée des Anciens pour qui il était donné à chacun de lever le voile de « son devenir ».
Car “tout est écrit dans le grand livre des Astres, mais beaucoup de choses peuvent se gouverner’ disaient les créateurs de l’Astrologie, il y a des siècles.
Cette voie, m’a amenée à me pencher depuis 40 ans sur Trois roues de la connaissance de l’être, que sont : le Tarot, l’Astrologie, la Numérologie, puis à les enseigner afin que chacun puisse chercher une réponse à cette universelle et individuelle question :
« Ici, ce jour-là, à cette heure précise, baptisé de ce prénom, héritier de ce nom… je suis né…
Alors, qui suis-je ? »
Trois roues, une seule réalité, un seul être. Le Tarot: ta rose à toi qui ne qu’à s’épanouir,
Le Nombre: qui est « La loi et la règle de tout l’univers” (Platon),
L’Astrologie: photographie du ciel au moment de la naissance, décrit les influences astrales se manifestant à cet instant précis.
Trois arts qui convergent vers le même but, celui d’une prise de conscience du libre arbitre de l’homme.
« Laisse les fous agir et sans but et sans cause, tu dois dans le présent contempler l’avenir » (Pythagore).
Si je me connais, si je sais où vont me conduire mes actes, je n’agirai qu’en toute connaissance de cause.